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oakley pas cher,lunette pas cher,Les marchés financiers fonctionnent avec l’aide de chambres de compensation (clearing House en anglais).

Ces dernières sont des organismes chargés d’assurer la compensation des soldes créditeurs entre banques,carrera pas cher. Dans la plupart des pays,lunette ray ban pas cher, y compris la France,ray ban wayfarer, seuls y participent directement les principaux établissements bancaires,ray ban pas cher, les autres établissements s’y faisant représenter par l’un d’eux,oakley pas cher,lunettes de soleil carrera pas cher 9153.

Pour les marchés à terme d’instruments financiers et de marchandises,lunette carrera, les organismes de compensation sont chargés d’assurer la correspondance entre les positions débitrices et créditrices des différents intervenants, de compenser les soldes et de s’assurer du versement des appels de dépôts de garantie et de marges.

En France, c’est le MATIF qui fait fonction de contrepartie lors de l’achat ou de la vente de contrats,discount ray ban, qui comptabilise les marges et regroupe tous les membres du marché sans leur accorder de facilités de crédit. Dans son rôle de chambre de compensation,lunette ray ban pas cher, il enregistre donc toutes les transactions,carrera sunglasses, donne sa garantie de bonne fin en se portant contrepartie,lunette carrera magasins. Il faut rappeler qu’une fois la transaction réalisée sur le marché,lunette oakley, les deux parties – acheteur et vendeur – n’ont en face d’elles que le MATIF qui devient donc contrepartie en toute circonstances. Ainsi acheteur et vendeur n’ont pas besoin de leur accord respectif pour déboucler leurs positions respectives avant l’échéance du contrat,oakley. C’est donc la chambre de compensation qui fixe le montant du dépôt de garantie et effectue les appels de marge, pour créditer ou débiter les comptes des intervenants,ray ban pas cher.

Le passage par la chambre de compensation offre aux blanchisseurs un écran entre leur activité et leurs revenus financiers,Ray Ban Wayfarer. L’argent perd toute trace de son origine lorsqu’il traverse le filtre de la chambre de compensation,ray ban pas cher. Il est par ailleurs matériellement impossible de contrôler de remonter en arrière sur les opérations dénouées sur le MATIF,carrera.

Prenons l’exemple de deux sociétés,lunettes ray ban, l’une dans les Caraïbes,lunette oakley, l’autre à New York avec un seul gérant pour les deux sociétés,oakley golf. En apparence,lunette carrera, la société des Caraïbes va placer de l’argent,lunette oakley homme, environ 1 million d’Euros, par l’intermédiaire de son gérant,oakley, sur le MATIF en achetant des contrats (titres), mais lors de la revente,lunettes oakley, le cours du moment est inférieur au prix d’achat : elle réalise une perte,L’utilisation des chambres de compensation,oakley pas cher. La société new-yorkaise,carrera lunettes, en revanche a acheté et vendu les mêmes contrats (titres), mais cette fois, avec un gain : la différence entre le prix de vente et d’achat est positive,L’utilisation des chambres de compensation,ray ban pas cher. La Chambre de compensation de la Bourse va lui verser la somme placée augmentée du gain réalisé. En réalité,ray ban moins cher, la perte de la société des Caraïbes est organisée et calculée à l’avance. Deux ordres d’achat et de vente sont passé à un instant « t », à un certain cours, puis un quart d’heure après, deux autres ordres d’achat et de vente sont aussi passés à un cours sensiblement différent,oakley pas cher, ce qui garantit,carrera 0831, en répartissant correctement les ordres d’achat et de vente entre les sociétés,ray ban, une perte pour l’une et un gain pour l’autre,soldes ray ban. L’argent devient disponible pour la société de New-York, résultat de bonnes opérations boursières, rendu honorable par la Chambre de compensation. Jean de Maillard appelle cette technique « l’aller-retour » sur le marché financier.

Le gain ou la perte ne sont pas les enjeux de ces mouvements qui peuvent être reproduits plusieurs fois dans la même journée, l’important est la récupération d’un argent aux allures propre, quitte à en laisser une part aux divers intermédiaires en frais légaux ou non. La masse des capitaux qui transitent chaque jour sur les marchés financiers est telle que les opérations de blanchiment y sont indétectables. D’ailleurs, jusqu’à présent, aucune preuve n’a pu être apportée de l’utilisation des sociétés de Bourse pour blanchir de l’argent sale.

Les nouveautés technologiques qui ont facilité les transferts financiers internationaux ont par la même occasion simplifié les activités des blanchisseurs dont les actifs circulent uniquement sous forme électronique..

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