http://boutiquediorpascher.infoJoachim Gatti,dior femme, qui participait à un rassemblement de soutien à des expulsés d’un squat,dior pas cher,dans une interview à des médias turcs diffusée vendredi.,http://www.lunettes, avait reçu un tir de flashball,abercrombie. Selon la préfecture de Seine-Saint-Denis, les policiers avaient riposté aux projectiles des manifestants en utilisant le flashball.
“Il y a eu un non-respect des consignes d’utilisation de flashball. Certains policiers n’ont pas respecté les règles”, écrit l’IGS dans son rapport transmis au juge d’instruction le 31 juillet, selon une source proche du dossier,ici j pris le rouge,http://www.lunetteslouisvuittonpascher.info.
“En l’espèce, certains porteurs de flashball n’ont pas respecté les distances de sécurité et les parties du corps à éviter”,respect des consignes d’utilisation de flashball, souligne la police des polices, compétente pour Paris et la petite couronne.
“L’IGS veut dire qu’il y a eu une bavure, une faute de la part de la police”, a commenté une autre source proche du dossier.
“Il n’y a pas encore eu de mise en examen”Face à la multiplication de plusieurs blessures sérieuses occasionnées par des tirs de flashball, la Direction centrale de la sécurité publique (DCSP) avait adressé, en mai, une note aux divers directeurs départementaux leur rappelant les “règles impératives” de l’utilisation de cette arme.
Parmi celles-ci,respect des consignes d’utilisation de flashball, on note le respect des distances minimales (“pas moins de sept mètres”), l’interdiction de viser “au niveau du visage ou de la tête” et un usage “proportionné” aux faits et lié à la légitime défense.
“Il n’y a pas encore eu de mise en examen,et selon les possibles variations des tarifs,http://www.lunetteslouisvuittonpas. L’instruction essaye d’identifier l’auteur du tir de flashball”, a assuré mercredi une source judiciaire.
D’après le quotidien Le Monde daté du 31 juillet, l’auteur du tir est un policier de la brigade anticriminalité (BAC), qui “ne se trouvait pas en situation de légitime défense”.
Fin juillet, le parquet de Bobigny (Seine-Saint-Denis) avait ouvert une information judiciaire contre X pour “violences ayant entraîné mutilation et infirmité permanente sur l’une des victimes, qui a perdu un oeil, et pour violences par personne dépositaire de l’autorité publique suivies d’une incapacité temporaire de travail de 8 jours ou n’ayant pas entraîné d’incapacité sur trois autres personnes”.