2013,http://www.sacsblogs.infoPhoto – Junot LeBlanc avec ses prises de castors pendant une semaine au camp d’un ami,sacs moins cher, à peu près une heure et demie de chez lui,Chanel pas cher.
par Gisèle Comeau
BEAUBASSIN-EST – Junot LeBlanc de Dupuis Corner, est un jeune trappeur dans la région du sud-est du Nouveau-Brunswick. Dès l’âge de 6 ans, il a commencé à suivre son grand-père Aris Landry, également de Dupuis Corner,http://www.frboutiqueburberrypaschere.info, dans les bois pour placer des pièges.
Le jeune LeBlanc se souvient qu’il lui demandait bien des questions,sacs pas cher. Il voulait que son grand-père lui montre comment faire et lui apprenne l’art d’être un trappeur, du début jusqu’à la fin,longchamp pas cher.
Son arrière-grand-père, Alyre Landry,burberry soldes, le père de Aris,chanel lunettes, travaillait au bois à la semaine dans les années 1940. Il se faisait payer 6 $ à 7 $ pour une semaine de gage, mais il pouvait obtenir 12 $ pour une fourrure de castor ou de renard capturé dans une trappe. Alors voilà,soldes longchamp, il devient un mordu du métier de piégeur,sacs moins cher.
La fourrure était populaire à cette époque,sac burberry. Sur des anciennes photos datant des années 40,foulard burberry, en noir et blanc,Un jeune trappeur de Dupuis Corner découvre ce passe, on voit souvent les gens avec des chapeaux,longchamp pas cher, des manteaux et des mitaines faits avec des fourrures,sacs longchamp pas cher.
Junot LeBlanc a un emploi à plein temps dans le secteur des pêches,lunette carrera, mais le trappage est son passe-temps qu’il pratique dès qu’il en a l’occasion,soldes sac. «Que ce soit le castor,sacs longchamp pas cher, le renard,lunette pas cher, le coyote,sacs a main longchamp, le «BobCat»,sacs pas cher, les écureuils,echarpe burberry,Un jeune trappeur de Dupuis Corner découvre ce passe, s’il y a une bonne fourrure,http://www.sacscoachpascherefr.biz, on le trappe»,burberry enfant, indique-t-il.
Le jeune piégeur explique que la préparation de l’animal est différente. «Un jeune castor peut prendre jusqu’à un heure de travail pour bien préparer la peau tandis qu’un gros castor âgé peut prendre plus de temps à préparer car il faut faire attention au cuir de cette peau pour la vendre»,burberry pas cher, précise-t-il,soldes longchamp.
Deux fois par année, Junot LeBlanc contacte les compagnies de l’Ontario ou du Québec, entre autres Hudson Bay,sac chanel, Fur Harvesters (anciennement North Bay) et North American Fur Association, pour venir chercher les fourrures qu’il a préparées. Ensuite, elles sont mises dans une vente aux enchères où viennent des acheteurs d’Europe et d’un peu de partout. Il reçoit ensuite le paiement pour les peaux vendues.
Mais le temps qu’il prend pour préparer une fourrure n’est rien, car il est passionné de ce passe-temps. Être en plein air dans les bois, placer les trappes, aller les vérifier, beau temps mauvais temps, trouver des surprises dans les trappes il est à son meilleur, il est ravi, il est passionné par ce beau passe-temps.
Il est bien heureux de faire revivre ce métier du vieux temps. En trappant dans la région la semaine dernière, il est revenu avec un coyote qui pèse aux alentours de 75 livres.
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