http://boutiquediorpascher.infoUn regard contemporain sur des livres rares,Christian Dior
Portant un regard contemporain sur la collection de livres rares de la Bibliothèque de l’Université, cette série bilingue invite des professeurs de la Faculté des arts à commenter un ouvrage ancien selon leurs domaines d’expertise,abercrombie. À quatre reprises au cours de l’année académique, ces conférences publiques soulignent non seulement l’importance de ces œuvres pour l’avancement de la recherche,louis vuitton pas cher, mais aussi pour la compréhension du monde moderne,the footballer of Studenţesc Her mother,http://www.lunetteslouisvuittonpascher.,ralph lauren pas cher.
Marie-Geneviève-Charlotte Darlus (1720-1805),lunette dior, épouse de Louis-Lazare Thiroux d’Arconville, président du Parlement de Paris,abercrombie, est l’auteure d’une œuvre considérable et variée. Sa dernière œuvre,abercrombie Soldes, que l’Université d’Ottawa vient d’acquérir pour sa collection de livres rares, est un document unique sur le vécu d’une femme de la bonne société,acheter polo ralph lauren, à la fin de l’Ancien Régime,lunette louis vuitton pas cher. Bien que Mme d’Arconville y professe une aversion pour les Lumières, l’impressionnante variété de ses intérêts,abercrombie belgique, de ses connaissances,abercrombie pas cher, son appétit insatiable de savoir et de faire,vetement femme pas cher, son refus des faux-semblants et sa franchise parfois brutale font de cette autodidacte une figure exemplaire des progrès de l’esprit humain au début du XIXe siècle.
Conférencière : Marie-Laure Girou Swiderski
Tout au long de sa carrière,abercrombie pas cher, Marie-Laure Girou Swiderski a cherché à faire mieux connaître les femmes-auteurs et en a redécouvert plusieurs qui étaient tombées dans l’oubli. Dix-huitiémiste et spécialiste de l’écriture des femmes, elle a enseigné à l’Université d’Ottawa de 1966 à 2003. Elle a publié plusieurs articles sur Mme d’Arconville, ce qui a permis en 2006 de retrouver,des femmes qui se sont mises à travailler ,http://www.lunetteslouisvuittonpasc,sacs louis vuitton pas cher, à l’île Maurice, ses tout derniers manuscrits que la Bibliothèque Morisset vient d’acquérir. Elle est co-chercheuse dans un projet subventionné par le CRSH : Écrire l’histoire,sacs a main louis vuitotn, décrire les moeurs au siècle des Lumières. Geneviève Thiroux d’Arconville,dior pas cher, historienne et moraliste.
29 novembre 2012 à 19 h,polo ralph lauren pas cher, Pavillon Simard (pièce 129) – en anglais
What’s Inside a Medieval Gradual? Music in Advent in the Fifteenth Century
Liturgical books are of great importance to our understanding of medieval sacred music. One of the rare manuscripts of our library is such a volume. When we understand how these books were assembled and used, this can be a clue to repertoire and performance. In particular, in the season of advent, the medieval series of antiphons beginning with the word “O,” are a longer series than after the Council of Trent, and they even gave rise to polyphonic repertoire.
Conférencier : Paul Merkley
A professor at the School of Music since 1985, Paul A. in musicology from Harvard University. His main areas of research are in medieval and renaissance music, followed by film music. A Fellow of the Royal Society of Canada, he is a winner of the Deems Taylor Award of the American Society of Composers and Performers, and his electronic composition Contours after Aeschylus was performed at the National Arts Centre.
7 février 2013 à 19 h, Pavillon Simard (pièce 129) – en français et en anglais
Oudin, Shelton et les autres : filiation et modernité dans les traductions de Don Quichotte
Dans le premier volet de cet exposé, en français,Editions Le Cycliste,http://www.lunetteslouisvuittonpascher.info, vous découvrirez combien importants et révélateurs sont les liens de filiation qui unissent les différentes traductions françaises de Don Quichotte depuis la toute première traduction de la Première partie par César Oudin en 1614,Série de conférences « Trésors de la bibliothèque ». Dans le second volet, en anglais, l’étonnante modernité de ces traductions qu’on dit parfois « anciennes » sera abordée par le biais d’un passage plutôt osé de la première traduction anglaise de Thomas Shelton en 1612. Rappelons ici que la Bibliothèque de l’Université possède maintenant un exemplaire rarissime, publié en 1652, de la deuxième édition complète de la traduction de Shelton.
Professeur agrégé à l’École de traduction et d’interprétation, Marc Charron enseigne entre autres la traduction générale, littéraire et spécialisée de l’anglais et de l’espagnol vers le français. Il a notamment publié sur les effets de la mondialisation en traduction dans le cadre d’un important projet appuyé par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada. En 2012, il a été professeur invité à la Universidad Nacional Autónoma de México, ainsi qu’au Brésil, à la Universidade Federal de Santa Catarina et à la Universidad de São Paulo. Sur la traduction en anglais et en français de la littérature du Siècle d’or espagnol, il a publié plusieurs articles sur le Lazarillo de Tormes et le Don Quichotte.
Conférencière : Clara Foz
Clara Foz est professeure agrégée à l’École de traduction et d’interprétation et traductrice agréée (ATIO). Elle a été présidente de l’Association canadienne de traductologie. Elle enseigne la traduction (anglais-espagnol-français) au premier cycle ainsi que la méthodologie de la recherche et l’histoire de la traduction, aux cycles supérieurs. Son domaine principal de recherche est l’histoire de la traduction dans l’espace hispanique. Elle a publié un livre sur les traducteurs des douzièmes et treizièmes siècles en Espagne (Le traducteur, l’Église et le roi, 1998), livre qui a été traduit en espagnol en 2000. Elle a également publié des articles sur l’histoire des traductions du Quichotte en français. Elle travaille présentement à un projet collaboratif consacré à l’histoire de la traduction en Amérique latine.
28 mars 2013 à 19 h, Pavillon Simard (pièce 129) – en français
Une Encyclopédie pour changer le monde
Au départ, l’Encyclopédie ne devait être qu’une traduction française de la Cyclopedia d’Ephraïm Chambers, publiée en Angleterre, et qui avait eu une certaine popularité. Mais le projet, une fois mis dans les mains de Denis Diderot, est rapidement devenu une entreprise éditoriale d’une envergure inouïe et dont la finalité n’était rien de moins que de « changer la façon commune de penser ». Mais un livre peut-il répondre à une telle aspiration? Comment un livre peut-il changer le monde? Les éditeurs de l’Encyclopédie ont réfléchi à ce problème, et ils ont élaboré des stratégies qui mêlent militantisme ouvert et subversion clandestine des codes d’écriture pour atteindre leurs objectifs.
Mitia Rioux-Beaulne est professeur au Département de philosophie depuis 2007 et chercheur affilié à l’Institut de recherche sur la science, la société et la politique publique depuis 2012. Ses recherches portent sur divers aspects de la pensée des Lumières françaises, de la philosophie de l’art à celle de la science, mais ont pour centre commun une interrogation sur le rapport de l’être humain à son histoire : comment il en est affecté, mais aussi comment il la change,Série de conférences « Trésors de la bibliothèque ».