http://www.chaussuresmagasins.comJ un terrible secret vous confier : Cette ann ce n pas s que le P No puisse distribuer les cadeaux aux enfants de la terre, pas s du tout,Nike Free. Ce serait une grande catastrophe pour tous les enfants qui croient en lui et esp sa venue la nuit du 24 d faut absolument comprendre ce qui se passe, intervenir rapidement, agir efficacement,tod’s femme. ” Saint-Nicolas s tu et il n pas rouvert la bouche mais ses yeux brillaient de larmes. Alors j d d directement voir le P No lui, dans le grand Nord,chaussures tod’s en ligne. J march march vers le Nord,tods pas cher, toujours plus haut,Converse pas cher. A chaque pays,chaussures tod’s en ligne, je rajoutais une un bonnet,tods soldes, des gants, des chaussettes. J de plus en plus froid et mal aux pieds aussi mais j continu sans m jusqu pays des esquimaux,chaussures puma,Pas de No cette ann. L j demand un p de phoques: “S vous plait, o est la maison du P No ,tods chaussures?” Mais lui ne comprenait rien et je ne connaissais pas sa langue,puma golf. J d lui mimer ma question,chaussures pas cher, le plus dur c “s vous plait” ,pum pas cher.
Pour lui faire comprendre “P No je le d avec des gestes : sa barbe,tods chaussures, son chapeau,tods pas cher, son gros ventre et sa hotte pleine de cadeaux, son sourire aussi,tods pas cher. J ridicule ,http://www.todspascherfr.info!. Le p de phoques riait,puma pas cher, riait, il ne pouvait plus s
A la fin, il est parti et je n savais pas plus,chaussures pas cher. Je me suis assis sur un gros bloc de glace et pour la premi fois depuis que j parti,tods Femme, j d de jamais trouver le P No J m dout un instant de son existence, et croyez-moi, j ai honte pr
Je ne savais vraiment plus quoi faire et machinalement je tirais les bouloches en laine de mon rouge. Tandis que je r et ressassais des pens noires : je ne trouverai jamais le P No j fait tout ce voyage pour rien du tout, j mieux fait de rester au chaud chez moi, il n aurait plus jamais de No sur terre et les hivers seraient si longs d et si tristes que les humains d encore plus et feraient encore plus de guerres et de b et m qu en font d assez.
Bref, pendant ce temps, je ne m pas que le banc de glace sur lequel j assis fondait , fondait cause, il faut bien le dire, de la chaleur de mon derri !
Nous sommes all dans un igloo et il m parl devant une tasse de bouillon la graisse de phoque (Du moins, je crois que c du phoque.)
Le P No vivant mais il tout triste, il m expliqu qu force de pleurer, ses larmes avaient gel autour de lui et que c pour qu coinc dans la glace, qu me remerciait mais que ne servait rien. “Mais pourquoi, cher P No que se passe-t-il ?. Je suis inquiet pour vous. – Eh bien moi non plus, figure toi, je suis si vieux que je ne sais m plus mon !.” Et le P No s mis pleurer comme un tout petit enfant, m fait bizarre. “Allons, allons, P No ne pleurez pas, ne pleurez pas.” Je ne savais pas quoi dire d “Je ne veux plus faire ma tourn je ne peux plus !!! – Mais ce n pas possible !. Les enfants vous attendent avec vos jouets, vous ne pouvez pas les d !. Qu m un petit quelque chose, un dessin, un mot gentil, un coquillage, je n jamais vu de coquillage, moi !. Eh bien non, rien , rien de rien !. J ai assez, c termin qu se d sans moi !. Mes larmes ont commenc couler toutes seules, faisait des petits gla tout ronds. Pour qu ne vous oublient pas. S vous pla P No Il m regard avec des yeux brillants: “Je vais r je vais r Il faut que tu rentres chez toi maintenant.” Il m pr son tra super rapide, je le voyais en bas qui tirait sur les bouloches, il juste un petit point rouge, un tout petit point, tellement important. Les enfants, j que j r le convaincre, que No aura lieu cette ann mais je vous en supplie, il faut tenir la promesse que je lui ai faite pour vous, ne l pas apr No Ne l pas. Il compte sur vous. FINhttp://pumpascher.chaussurespaschere.info
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