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http://boutiquediorpascher.infoParu dans Technikart n° 14,lunette louis vuitton pas cher

La croisière est partie de Quindao, avec à son bord un essaim de riches businessmen asiatiques. Si tout se passe bien,louis vuitton pas cher, Louis Van Der Neukem sera multimillionnaire dans quelques semaines,Christian Dior pas cher. Le temps d’exploiter le chargement empaqueté dans les soutes du navire,sacs louis vuitton pas cher.

Ce long voyage entre la Chine et la Belgique l’épuise. Il a besoin de se relaxer. Un bon bain bien chaud, entouré de femmes nues qui lui procureront mille plaisirs,polo ralph lauren pas cher. Bientôt,abercrombie Soldes, il pourra se payer ce luxe,abercrombie. Il en éprouve des frissons dans le bas-ventre,abercrombie kids.

C’est la première belle journée depuis le départ. Des femmes en maillot de bain se dirigent vers une immense terrasse à l’avant du paquebot,Christian Dior. Elles sont belles, fines, élancées, leur chevelure d’encre caresse leurs épaules dénudées. Louis en oublie un instant son chargement,ralph lauren pas cher, les raisons de ce voyage,abercrombie pas cher, le futur,abercrombie pas cher. Il les voudrait pour lui,Un bain chaud avec des femmes nues, toutes ces créatures de rêve, dévêtues et offertes dans un bon bain brûlant.

Soudain, les femmes s’affolent,ralph lauren homme. Elles parlent vite, s’en vont,chaussures louis vuitton, reviennent, gesticulent,abercrombie moins cher. Le capitaine en personne – un Français – intervient,abercrombie. Il écoute les protestations puis se dirige vers Louis.

«Monsieur Van Der Neukem, nous avons un problème.

– Je vous écoute, répond Louis dont les pensées se dirigent automatiquement vers le chargement,dior pas cher, dans les cales.

– Vous le savez, nous avons, parmi nos voyageurs, de très importants hommes d’affaires chinois,Un bain chaud avec des femmes nues. Pendant qu’ils négocient dans les salons privés, leurs femmes en profitent pour bronzer. Mais voilà: elles ont toutes oublié leur crème. Or, il y a dans nos soutes trois tonnes de produit à bronzer qui vous appartiennent. La compagnie désirerait vous en acheter un peu.

Louis blêmit.

– Non… ce n’est pas possible

Le capitaine devient confidentiel:

– Ces femmes-là sont superbes, il y a moyen de se les taper comme on veut. Si vous coopérez, on peut véritablement s’éclater…

Les Chinoises s’énervent.

– Nous n’avons plus le temps de discuter, je vais me servir! tranche le capitaine avant de disparaître.

Louis se précipite à ses trousses. Le capitaine se retourne et le frappe au visage.

– Ça fait six mois que j’ai pas baisé! crache-t-il. Je veux me les farcir,sonores et thermiques.,http://www.lunetteslouisvuittonpascher.info

Louis se jette à ses pieds. Le Français l’envoie voler contre une paroi métallique où il s’assomme dans un bruit de gong tibétain.

Quand il revient à lui, son premier réflexe est de remonter sur le pont. Il redoute le pire, et c’est précisément ce qu’il découvre en arrivant à l’air libre: toutes les femmes sont nues et s’étalent de l’huile sur le corps. Le capitaine est là également, entouré de trois Asiatiques s’affairant sur sa braguette. Louis le rejoint.

«Vous êtes fou! Il ne fallait surtout pas…

Le capitaine se relève et l’attrape par la cravate.

– Foutez-moi la paix,mis en jeu par un magazine sp dans les bateaux,http://www.l

Juste à côté d’eux, une femme hurle. Elle se tortille et tombe de sa chaise; elle griffe le sol tout en s’égosillant. Puis elle explose comme une saucisse sur la braise. Tout le monde est aspergé de sang. Une seconde femme éclate, de l’autre côté du pont. Le capitaine panique et détale. Louis assiste à l’horrible spectacle,pleine d’émotions,http://www.lunetteslouisvuittonpascher.info. En réalité, la crème solaire n’en est pas du tout: un produit issu d’un laboratoire chinois, aux propriétés exceptionnelles. Ses molécules démultiplient la chaleur du soleil, comme autant de micro-loupes. Etalées sur un panneau photoélectrique, elles augmentent d’un millier de fois son efficacité. Une fois breveté au nom de Louis Van Der Neukem, ce produit devait lui rapporter des millions. Mais, pour cela, il fallait l’acheminer en douce jusqu’en Belgique, en le faisant passer pour de la crème à bronzer par exemple.

Pleuf! Une troisième femme éclate comme un pop-corn. Les unes après les autres, elles volent en éclats et se libèrent de leurs boyaux, qui se mêlent sur le pont comme autant de poulpes écarlates.

Le capitaine réapparaît, accompagné d’une trentaine de marins. Ils portent les bidons de Louis et en versent le contenu dans l’océan.

«Qu’est ce que vous faites?

– On balance tout!»

Les marins ramassent les carcasses de femmes, leurs tripes, et les jettent par-dessus bord. Deux hommes de main empoignent Louis et le soulèvent. Après un long vol plané, le Belge s’enfonce dans la mer parmi les corps déchiquetés. Même dilué, le produit miracle est toujours aussi efficace. Les rayons du soleil frappent la surface de la mer et l’eau commence à chauffer. Dans un instant, elle se mettra à bouillir. Louis va cuire dans un bain chaud, entouré de femmes nues (et éventrées).

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