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http://gstar2013.vetementmagasins.info,g star pas cherComment être un individu, celui-ci plutôt qu’un autre,g star? Que peut dire à ce propos la littérature, l’expression littéraire ou l’attention portée à la littérature? Et quelle direction cela indique-t-il à l’activité critique? La pensée moderne a fait de la question de l’individu son affaire centrale: avec Bergson, Merleau-Ponty, puis, dans une autre logique Simondon, Deleuze,g star raw, et aujourd’hui Agamben… ce sont bien les formes de l’être et du devenir-individuel qui ont intéressé la philosophie du XXe siècle,lunettes chanel. Mais la littérature a aussi pris sa part, manifesté sa capacité d’attention et sa propre puissance de pensée dans ces domaines. La republication, dans une nouvelle édition, de l’essai consacré par Pierre Pachet à Baudelaire, intitulé Le Premier venu, aide à considérer ces questions. Le livre avait d’abord paru en 1976, sous-titré «Politique de Baudelaire»,lunette chanel pas cher; écrit dans le voisinage de René Girard, mais aussi de Victor Goldschmidt et de Claude Lefort, il partait de certains textes tournant autour de la question du sacrifice,g star pas cher, et par exemple de la peine de mort,g starmoins cher, pour restituer une authentique intelligence baudelairienne du social; à partir de fragments allusifs rassemblés dans «Fusées» et dans «Mon cœur mis à nu», Pierre Pachet observait l’énigmatique fascination de Baudelairepour le sacrifice, la naissance d’un homme providentiel, l’accumulation de forces sur un seul individu, la fragilité des valeurs dans un monde où celles-ci ont perdu leur fondement sacré… Il s’agissait bien d’une étude sur la littérature baudelairienne, attentive et neuve; mais le livre pouvait surtout frapper par la force de la pensée de l’individu qui s’y risquait; cette pensée semblait s’être rejointe elle-même dans et par la lecture de Baudelaire, s’y être trouvée en s’y mettant à l’épreuve, affûtée par la violence même des fragments baudelairiens. Elle avait quelque chose de cruel. Pachet savait et avançait que tout surgissement d’un être individuel (qu’il soit homme, œuvre ou idée, car même l’expérience de la pensée consiste à «percevoir le mouvement sans fin des différences» et comporte «l’espoir de penser quelque chose d’absolument singulier»), particulièrement dans les sociétés modernes qui à la fois posent l’égalité des êtres et requièrent la différenciation de chacun, il avançait que tout surgissement d’un être individuel donc, se déroule dans un espace de conflits, se paie de l’écrasement d’un autre, dépend de cet écrasement, et que la tyrannie, pour l’homme démocratique,g star onlineblouson g star, vient précisément de la présence et du désir de détermination de ses semblables.

Quinze ans plus tard, dans un autre livre intitulé Un à un. De l’individualisme en littérature, Pachet poursuivait ce qu’il faudrait appeler une anthropologie littéraire de l’individuel. Ici encore, une idée de l’individu moderne s’exposait et s’explorait,g star pas cher. Le livre était construit un peu différemment, voyageant parmi des singularités concrètes,g star 2013. Cette fois la réflexion ne se fondait pas sur l’exemplarité sombre de scènes hors norme (en l’occurrence la peine de mort, le duel ou le suicide, et leur centralité dans la pensée baudelairienne du social),chanel pas cher, mais partait de quelques situations tout à fait ordinaires où s’éprouve pourtant fortement le fait d’être un individu: fermer la porte, prendre un bain, s’endormir, allumer une cigarette…; l’auteur trouvait chez trois grands écrivains (Michaux, Rushdie, Naipaul) l’impulsion de poursuivre cette méditation sur la possibilité d’émergence des individus, mais aussi, et c’était important, des raisons pour accentuer la minceur ou la fragilité de ce surgissement, et par conséquent des encouragements à le protéger,g star homme.

Entre les deux livres, ce n’est pas tellement la pensée de l’individu qui se transformait, mais plutôt son timbre, sa couleur ou son profil – plus précisément,Deux styles d’individuation, et c’est ce à quoi je voudrais réfléchir: son style et son rapport avec le style1. L’horizon s’infléchissait, car le sentiment et l’interprétation de la conflictualité inhérente à l’individualité moderne s’étaient déplacés et colorés un peu différemment. La noirceur de l’individuation baudelairienne laissait place à des moteurs plus quotidiens, à une exploration de la nuance fine de situations de retrait où se joue pourtant tout aussi fondamentalement le rapport à soi. Constance d’un questionnement et subtil déplacement de manière: c’était la même pensée, mais la colère en moins. J’aimerais y voir la mise en œuvre de deux «styles d’individuation», c’est-à-dire de deux logiques ou de deux formes de formation de l’individualité2; non pas deux pensées nécessairement divergentes du «soi», mais deux accentuations de ce que c’est qu’être et devenir un «soi»,adidas football store, deux allures, deux comportements, deux attitudes devant la poussée et le surgissement des êtres individuels (à nouveau: personnes, choses, formes ou pensées), et deux réponses à ce surgissement,louis vuitton pas cher.

Encore un saut de quinze ans et Le Premier venu aujourd’hui reparaît,discount g star, augmenté d’une postface où l’auteur dit son étonnement devant celui qu’il était écrivant cela: «Aujourd’hui que je relis mon essai pour la présente réédition, je reconnais son mouvement et je l’approuve, sans pouvoir tout à fait coïncider avec lui, l’expliciter ni le prolonger, comme si j’étais désormais trop différent de celui qui l’a écrit,sacs a main louis vuitotn, et qui par-dessus les années me livre un héritage.» En effet c’est une autre attitude à l’égard des exigences de l’individualité qui s’y était exposée. Mais l’ancien livre est revenu, approuvé dans son mouvement-même (c’est-à-dire aussi dans son individuation),g star pas cher, comme s’il fallait que revienne cette version sombre, pas très deleuzienne, de l’être-soi. Peut-être la méchanceté,manteau g star, la conflictualité – la «tyrannie de la face humaine» disait de Quincey – devaient-elles reparaître et s’imposer comme une constante de la constitution individuelle. Je voudrais essayer de comprendre ce parcours, la vie de ce livre paraissant et reparaissant, sa place dans l’œuvre d’un écrivain véritablement singulier; dans ces étapes d’une même conviction, il faudra restituer la force et l’exigence de deux modes d’individuation qui se succèdent moins qu’ils ne se font face, deux façons d’être qu’il nous faut à notre tour regarder, éprouver et différencier en nous-mêmes comme de véritables possibilités d’être. Je vais forcer le trait, creuser la distinction et obliger ces deux modalités à se dresser l’une en face de l’autre,mercurial vapor pas cher, car il me semble que c’est là un enjeu important de la littérature moderne, et la tâche même de la critique: je proposerais volontiers de réorienter l’activité critique et les enjeux de la lecture vers l’identification de tels styles d’individuation, autant de styles qu’il y a d’œuvres et d’idées de l’individu qui s’y risquent: la critique comme pratique de l’individuel, c’est-à-dire d’abord comme reconnaissance de la dynamique d’individuation qui est à l’œuvre dans un texte. Pensons la dynamique du style comme une dialectique de proposition et de réponse: attention nuancée ou curiosité cruelle, manière de seconder les choses dans leur mouvement de singularisation ou de s’en sentir menacé… autant de façons de porter le surgissement de l’individu à la puissance deux – de le regarder et d’y répliquer.

Pourquoi cela se dit-il prioritairement par la littérature, en elle (dans la littérature de Pachet) et grâce à elle (dans ce que lui-même a su éprouver à la lecture de Baudelaire et de Michaux)? Parce que les grands livres déploient justement des styles d’individuation insubstituables (parfois concurrents) pour nous y rendre sensibles, ils proposent à notre attention des modes d’attention, à notre regard des genres de regard, à notre perception des profils de perception qu’ils nous rendent un à un disponibles et auxquels ils nous demandent de faire attention, à tous égards. En un temps où le «be yourself» est un slogan vide ou un fétiche (François Flahault a ironisé récemment sur ses prétentions), cette attention littéraire (attention à la littérature et attention par la littérature, sens des qualités et des différenciations) est certainement un très bon guide.

La manière noire: rage de l’individuel

Le Premier venu s’ouvre sur quelques pages consacrées à la figure du passant: l’inconnu(e), l’homme des foules, le «n’importe qui» dont Pachet relève l’importance dans les écrits de Baudelaire,Deux styles d’individuation, et qui consonne chez le poète avec d’autres modalités de l’indétermination: le bonheur est «n’importe où hors du monde», l’élu politique est «un homme en loterie», et pour le haschischin «le premier objet venu devient symbole parlant»… Un principe esthétique et moral y est mis en lumière, celui de la gratuité des caractères, des vertiges du hasard qui dans une foule de traits, d’êtres ou d’objets fait arbitrairement choisir tel ou tel.

Mais la réflexion restitue rapidement le visage très particulier de ce «premier venu» baudelairien, en mettant au premier plan la question du sacrifice et en en faisant le foyer d’une réflexion plus vaste sur le «prix» moderne de l’individuation, du «devenir quelqu’un». Qu’est-ce qui justifie cette exemplarité exorbitante et noire, du sacrifice? C’est, d’un mot très baudelairien, la coprésence de «semblables» et la disparition des absolus dans la société moderne: «dans le jeu de la concurrence, de la compétition des mérites qui s’ouvre alors, la sélection des individus, si elle se conforme à peu près, dans la pratique, à la répartition des couches sociales existantes, manifeste pleinement son arbitraire.»(13-14) La promotion de l’un tient à la dégradation de l’autre, à quelque échelle des rapports humains «douloureux, honteux, richement implicites» (15) qu’on se situe. L’essai offre alors toutes les raisons de regarder l’individuation comme une dialectique d’émergence et d’écrasement,discount g star, de concevoir l’être-soi comme une violence, et l’affirmation d’une manière à soi ou d’un espace à soi («a room of one’s own»,sacs louis vuitton pas cher, disait Virginia Woolf) comme une lutte impliquant des rapports affectifs ambivalents, des subordinations, des compétitions,mercurial nike, des dépendances. Il en trace les lignes visibles, en dégage la forme concrète et nous la place littéralement sous les yeux.

C’est le paradoxe de l’individuation dans la société moderne, cette société égalitaire qui révèle crument les interdépendances. La question baudelairienne devient: comment (dans les êtres, les œuvres, les pensées…) les différences naissent-elles et s’amplifient-elles, ces différences à la fois voulues et déniées par la démocratie? Pachet montre combien chacun cherche à s’individualiser par une propriété dont il «concerte l’apparence» par un choix et une différenciation (autrement dit, cherche à se styliser et à se traiter soi-même comme œuvre); mais il ajoute qu’il suffit que le caractère stéréotypé de la propriété apparaisse pour que l’individualité de son «propriétaire» disparaisse brusquement: cette individualité-là est toujours sur la défensive, et Baudelaire apparaît souvent «en proie à cette nervosité»; par là il nous permet de sentir intensément le «sans cesse» de la différenciation, son caractère infini et toujours à recommencer. Pachet le dira plus tard: l’individu moderne est doué pour la différenciation, ou plutôt il y est voué et même condamné.

La citation préférée de Baudelaire, reprise à de Quincey, expose cette demande: «la tyrannie de la face humaine»; dans l’expérience des foules ou dans le coudoiement d’individus en masses qu’organisent les grandes villes, c’est-à-dire dans les conditions concrètes de la réflexivité inhérente au lien social, Baudelaire observe que par le caractère irréductible de sa singularité, la face humaine demande despotiquement à être identifiée, reconnue, «éclairée par un regard qui la distingue». Mais «la simple loi du nombre transforme ce désir démocratique de reconnaissance en une tyrannie»; car l’individualité qui demande à être vue dans tous ses caractères est emportée bientôt «dans un mouvement furieux» et impuissant pour «accaparer l’attention». Dans «Le joujou du pauvre» ou dans «Le gâteau», montre par exemple Pachet, la compétition révèle en s’exagérant un couple d’êtres identiques autour d’un objet qui finit par s’évanouir. C’est ce caractère substituable des êtres ou des pensées, révélé par l’instabilité des différences modernes, qui va permettre de construire une théorie du sacrifice; Pachet commente en ce sens l’effort de Baudelaire pour «reconstituer la logique du crime comme différenciation», comme exercice d’une domination sur le plus proche, subordination située au fondement de toute singularisation.

Cette «prime à l’individu» est évidemment l’enjeu du dandy, celui qui veut être un et lutte contre le fantôme de l’autre, héros moderne qui cherche la distinction et la singularisation, mais dans un monde où aucune procédure ne peut donc les lui garantir; le dandy doit conserver son essence fragile en un duel invisible,Deux styles d’individuation, «un despotisme du paraître et non de l’agir», ce que j’appellerais à mon tour une tyrannie esthétique, jamais conclue. Car la précarité des déterminations suscite des conduites d’emphase, d’exagération et d’accentuation de soi-même ou de ses propres reliefs, elle implique une sorte de spectacularisation de l’individu et se modèle sur un art emphatique: «les traits de singularité qui caractérisent tel individu en le distinguant de ses proches, de ses modèles, de ses semblables, se manifestent comme peu saillants, évanouissants, tant et si bien qu’ils engendrent quasi naturellement le désir de les exagérer, comme dans le dandysme, de faire apparaître aux yeux des autres une personnalité artificiellement excentrique ou négative.» Ce despotisme esthétique dégagé par Pachet, qui est bien un «style» d’individualité, coïncide avec d’autres styles dans les pratiques modernes, mais il est particulièrement révélateur de ce que c’est qu’être soi dans ce monde-ci; car le terrain du dandy, ajouterais-je, est le paraître et le disparaître, et cela fait de lui un représentant exemplaire de l’exigence moderne d’esthétisation différentielle de la vie; Bourdieu a lui aussi montré la demande épuisante d’une production de petites différences visibles; et Foucault ou Barthes ont également fait du dandy (d’un «dandysme moral» pour l’un, d’un dandysme noir pour l’autre) le héros intime d’une pensée «racée».

Question de style, donc. Ce mouvement d’émergence-écrasement, «rage froide et violence inquiète», cette forme-là d’individuation où l’individuation signifie et active le surgissement d’une force qui demande à être vue, s’observe au plus clair dans les œuvres d’art, ces quasi-sujets dont les sujets sont les modèles, et inversement. Il faut en effet saisir le lien moderne qui associe le domaine de la création des formes (leur puissance de différenciation) et celui de l’affrontement des regards ou des consciences, car, comme le montre ici Pachet «l’art appartient à un monde sacrificiel plus vaste que lui», qui est la société civile; la forme esthétique et l’organisation sociale sont soumises au même principe de subordination, à la même perception violente de différences organisées, c’est-à-dire justement de formes singularisées; la logique esthétique du choix, de l’accentuation ou de l’exclusion prend une signification toute particulière en régime démocratique, où même la formation et la genèse d’une œuvre naissent d’un conflit et d’une concurrence, d’une sélection qui «retrouve la vérité sélective du monde». Le poète et l’artiste ont par conséquent «le devoir cruel de mettre en lumière en eux-mêmes – et donc de rendre inefficace» (vraiment indolore?) ce surgissement brutal, en détournant cette énergie: le génie part d’un écart, le développe, spécule sur lui, en quelque sorte il l’innocente, et Baudelaire rappelle qu’il «a assez de génie pour étudier le crime dans son propre cœur» et dans sa propre création de formes.

Je vois ici la force de toute une pratique du style, style de vie et style tout court enfin compris et pratiqués dans l’unité de leur expression: une écriture qui assure la continuité de l’individuation des œuvres à celle des êtres. Ici, c’est un principe commun de tyrannie esthétique qui s’éclaire violemment, où faire être une qualité c’est forcément faire le sacrifice d’une autre qualité; on y retrouverait volontiers la question du détail, qui mieux qu’une autre dit que pour Baudelaire le multiple (la meute, la foule) est le principe du mal: «Un artiste ayant le sentiment parfait de la forme, écrit-il, […] se trouve alors comme assailli par une émeute de détails, qui tous demandent justice avec la furie d’une foule amoureuse d’égalité absolue» … «L’oscillation n’est pas de l’être, mais entre les êtres», conclut fortement Pachet. On voit quelle force de différenciation en acte présente ici la littérature, qui non seulement expose mais accentue et fait vivre les écarts. Les exigences de l’art moderne se font signes d’un «rapport meurtrier au prochain», de l’impossibilité de rapports contractuels: sous le regard de Baudelaire, le monde contemporain présente une violence qui résulte de la mise en présence brutale de postulations individuelles non seulement irréductibles, mais incompatibles: si l’un y est c’est que l’autre n’y est pas, ne doit pas y être. Nous trouverions facilement au fond de nous-mêmes quelques reflets de cette cruauté-là.

La manière claire: minceur de l’individu

La position du sujet individuel dans une société individualiste est donc toujours précaire, c’est le paradoxe mais aussi le potentiel, la réserve explorée en permanence par la pensée de Pachet3; Baudelaire aidait à comprendre la violence rageuse et impuissante de l’individu moderne, détruisant-détruit; dans Un à un4, Michaux aidera à comprendre l’énigme de l’individu moderne, à la fois surgissant et fragile. La lecture que Pachet fait de Michaux a une couleur assez différente de celle qu’il faisait de Baudelaire, elle est moins terrible, moins cruelle, libérée (ou privée) d’une pensée de la différenciation comme sacrifice: c’est une invitation, cette fois, à seconder intimement la «minceur» des individus.

Un à un s’ouvre sur une série de situations ordinaires de retranchement; l’être-soi y consiste avant tout en une mise à part de soi-même, une façon de fermer la porte et de tourner le dos. Mais il s’y révèle une fragilité démultipliée: minceur de la cloison du moi; besoin d’expansion et de sortie, non nécessairement pour étendre un territoire, d’ailleurs, mais pour maintenir le contact, dans une attitude indécise devant l’émancipation, un appel mêlé d’un «besoin de personne»; conscience enfin d’une unité mal assurée: d’une part cette unité est multiple ou contradictoire en elle-même, d’autre part elle est répétée et dispersée ailleurs, parce qu’elle est, si je puis dire, «ressemblée» par d’autres. Le surgissement de l’individualité a en effet comme revers l’incertitude d’être vraiment soi; et cette incertitude se mesure et se ressource en permanence dans le contact avec les choses et les êtres: on se voit semblable, répété au-dehors («vaporisé» dirait Baudelaire), instable de cette nouvelle façon. L’émergence n’est plus exactement menacée par la concurrence exercée par d’autres surgissements, mais plutôt composée de forces de retraits, de déflations et de retranchements à l’intérieur du sujet lui-même, retraits où l’individualité ne s’évanouit pas, mais se continue sur un autre mode. L’individu ici est aussi bien une passivité et une force de recul – faite d’imitations, d’effondrements de la volonté, de retours en arrière – qu’une affirmation de particularités, une différence personnelle ou un effort d’expression.

La figuration profonde de l’individuel se transforme, sort d’une situation duelle et nous offre (à nous lecteurs) d’autres images, un nouveau registre, d’autres invitations de pensée et d’expérience. L’individu, ici, est émergence pure, radicalité du choix et de la poussée d’une forme, en deçà même de l’acquiescement à ce qu’il choisit: il est par exemple «le pouvoir capricieux de choisir telle ou telle [musique], ou aucune, et de narticles connexes:

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http://www.awfans.com/viewthread.php?tid=816094&extra=

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