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Alors que la Seconde Guerre mondiale peine,discount g star, depuis un moment déjà,sacs louis vuitton pas cher, à trouver écho auprès des amateurs de FPS militaires et que dans le même temps, Activision s’est imposé comme un des poids lourds du genre grâce au rouleau compresseur Modern Warfare, Electronic Arts se décide enfin à dépoussiérer sa mythique licence, tout juste quelques mois après un Battlefield : Bad Company 2 des plus convaincants,jogging adidas football. Sobrement intitulé Medal of Honor, comme pour marquer le renouveau de la série, le titre tente de se faire une place au soleil avec une approche plus authentique et réaliste de la guerre moderne. Pour un résultat à l’image du conflit afghan qu’il tente de cerner : oscillant entre exaltation et amertume. Explications.

Kaboul,g star 2013, Bagram, Kandahar,g star pas cher. S’il est devenu habituel d’entendre évoquer ces villes lors du journal de vingt heures, elles seront désormais les étapes incontournables du joueur se lançant dans ce Medal of Honor. Car fidèle à sa tradition d’ancrer le scénario de ses jeux dans un contexte historique et géopolitique réel, Electronic Arts a pris la délicate décision de faire de l’Afghanistan le théâtre de sa nouvelle production, se démarquant ainsi des habituels et fantaisistes affrontements entre Russes et Américains que l’on a pu voir se généraliser ces derniers temps. Pas d’invraisemblable invasion de l’Alaska par les troupes de l’armée rouge et encore moins de “bleu-bites” du Kentucky tentant de ramener l’ordre dans une république imaginaire du Caucase, on suivra ici les actions d’une unité de combat réellement existante : les hommes du Tier 1,louis vuitton pas cher.

Voici venir les barbus à papa (air connu)Loin de l’image d’Épinal véhiculée par les FPS de ces dernières années – gilet tactique futuriste, hélicos surarmés disponibles à toute heure et effectifs renouvelables à l’envi – ces membres des forces spéciales sont des experts de l’infiltration, de la survie en territoire hostile,chaussures louis vuitton, du renseignement mais également de la distribution de plomb lorsque les choses tournent en eau de boudin. Capables de prendre un aéroport avec une poignée d’hommes, aussi barbus et crasseux que des pâtres pachtounes pour la plupart, ils forment, dans ce conflit, le véritable fer de lance de l’armée américaine et le nec plus ultra en matière de barbouze. Et puisque les Rangers, c’est bien connu, “ouvrent la voie”, ils seront également de la partie pour seconder le Tier 1,lunette chanel, le joueur incarnant l’un des leurs à certains moments de la campagne. Une aubaine, quelque part,discount g star, au vu de l’impressionnante tripotée de fanatiques, talibans comme extrémistes tchétchènes, qu’il va falloir étriper ici. En clair, un même conflit, deux approches différentes, pour une narration rappelant tout de même fortement Modern Warfare 1 et 2.

En incarnant les troupes régulières, on retrouvera de fait un gameplay plus bourrin, favorisant mitrailleuses, lance-grenades, frappes aériennes et se déroulant en plein jour. A l’inverse, lors des phases avec le Tier 1,g star pas cher, on aura droit à des échauffourées le plus souvent nocturnes, en plus petit comité et où la discrétion sera de mise, même si certains passages, comme la prise de l’aéroport de Bagram, verseront sans complexe dans la séance de tir aux pigeons la plus totale,discount g star. De la même manière,g star homme, on retrouvera les sempiternelles phases de sniping au Barrett M82,lunettes chanel, du découpage de terroriste à la sulfateuse encore accrochée aux décombres fumants d’un hélicoptère, des balades en quad directement héritées de Battlefield : Bad Company 2 et même une virée en Apache, où l’on ne s’occupera malheureusement que de truffer de plomb le moindre turban qui dépasse, histoire d’avoir un point commun avec le futur Call of Duty : Black Ops. En d’autres termes, ce reboot de Medal of Honor a tout de même de sérieux airs de déjà-vu.

En cherchant à verser dans le réalisme, Electronic Arts réussit pourtant,mercurial nike, par le biais d’idées subtiles, à tirer son épingle du jeu et à donner un cachet authentique à son titre. Cela commence tout d’abord par un HUD dépouillé à l’extrême qui ne laisse que le viseur à l’écran. Et même si l’on peut, bien évidemment, consulter les infos de base (arme utilisée, nombres de munitions restantes.) d’un simple geste, force est de constater que l’immersion s’en trouve, mine de rien, tout de suite renforcée,chanel pas cher. L’ambiance sonore a également fait l’objet d’un soin tout particulier, avec des voix et des dialogues crédibles, bien retranscrits et collant parfaitement à l’action. De la même manière, le bruit des armes se veut des plus réalistes et les amateurs des documentaires de Charles Villeneuve sur TF1 reconnaitront sans peine le crépitement particulier de l’AK-47, par exemple,g star, le tout saupoudré d’explosions à faire trembler les murs de son F2. La musique, quant à elle, brille par sa discrétion, ce qui n’est pas pour déplaire, après des années à mener des charges d’infanterie avec la Chevauchée des Walkyries à fond les ballons,g star pas cher.

Il est également agréable de noter un comportement sensé de la part de ses coéquipiers, ces derniers se déplaçant comme de véritables soldats d’élite, lâchant quelques cartouches seulement, avant de se déplacer vers le couvert suivant, lorsque la voie est bien dégagée. Enfin, on notera un souci général du détail particulièrement poussé avec la possibilité de choisir sa cadence de tir (rafale ou coup par coup) sur les armes automatiques ainsi que la présence d’une balle dans la chambre lorsque l’on change de chargeur avant d’avoir vidé ce dernier, chargeurs que l’on pourra,g starmoins cher, d’ailleurs, quémander auprès de ses collègues en cas de pénurie de munitions, les protagonistes de Medal of Honor ne se baladant pas avec trois cent kilos de bastos dans la besace. Ça n’a l’air de rien comme ça, mais les puristes apprécieront.

Low tierPour autant, tout n’est pas parfait dans ce Medal of Honor, loin s’en faut, et il est même rageant de constater qu’Electronic Arts s’est montré plutôt coulant sur certains détails qui auraient largement mérité d’être revus. On pensera en premier lieu au comportement des armes qui, dans leur grande majorité,g star raw, manquent cruellement de recul,g star onlineblouson g star. Dans un jeu qui se veut plus authentique que la moyenne des FPS actuels, on ne pourra donc que déplorer des M4 capables de lâcher des bons vieux “full auto” sans trembler ou presque,mercurial vapor pas cher, des M249 avec viseur permettant de “sniper” en rafales et il n’y aura guère que l’AK-47, et plus bizarrement notre arme de poing, pour commencer à ressentir un début de “sensation dans l’épaule”. Étonnante aussi, la volonté du géant américain de vouloir confier la réalisation de son titre à deux studios différents et utilisant chacun un moteur graphique spécifique. Alors que Digital Illusions CE et son moteur graphique Frosbite avait fait des merveilles sur Bad Company 2, c’est Danger Close qui s’est chargé ici du mode campagne, le développant sur une version modifiée du vieillissant Unreal Engine 3. Les Suédois de DICE ne s’occupant, eux, que de la partie multijoueur. Dans les faits, on se retrouve donc dans des niveaux balisés et peu ouverts, où l’action consistera la majorité du temps à avancer, se planquer et exploser la tête qui dépasse, mais surtout avec des environnements totalement insensibles aux explosifs en tous genres. Côté réalisme, ça la fout un peu mal, il faut bien l’avouer.

Même constat énervant côté réalisation où, là encore, Medal of Honor se montre capable du meilleur comme du pire. Si l’on applaudira les effets de lumière, splendides, et des environnements de bonne facture, le soft d’Electronic Arts ne souffre pas moins d’un aliasing prononcé, de textures grossières et, si l’on veut pinailler, d’un frame rate parfois fébrile lorsque l’on commence à déchaîner les enfers, c’est-à-dire à peu près toutes les dix minutes. pas forcément très affutée. Rien de dramatique non plus, le résultat se montrant globalement satisfaisant. Il n’empêche qu’en 2010, au vu de la concurrence et pour un épisode marquant le renouveau d’une licence mythique, l’ensemble manque clairement d’un peu de polish. Mais le plus gros reproche que l’on pourra faire à la campagne solo de ce Medal of Honor concernera probablement sa mise en scène et, de manière générale, la direction qu’ont voulu prendre les développeurs. Car il faut bien l’avouer : en dépit de quelques cinématiques retentissantes et de moments de bravoure bien sentis, l’ensemble manque rapidement de rythme. Victime de son parti pris réaliste, Electronic Arts se révèle, et on le serait à moins, incapable d’empêcher son titre de sombrer dans une certaine linéarité, déchiré entre une volonté de grand spectacle et une recherche d’authenticité, finalement, dans le cas présent, plus contraignante qu’autre chose.

Le résultat ? Une histoire qui donne l’impression d’avoir été torchée en catastrophe, faute d’idées, une fin en queue de poisson et une durée de vie avoisinant les cinq heures. Cela a beau être dans la norme des FPS militaires actuels, ce n’est pas une raison pour ne plus s’en offusquer. Surtout quand il n’y a pas de mode “Coopération”. Maigre consolation pour les plus acharnés, la possibilité de refaire la campagne en mode “Tier 1”, pendant hardcore du mode solo, avec munitions ultra limitées, santé qui se régénère plus lentement, aide à la visée désactivée et ennemis déchaînés. Jouable en ligne mais uniquement en solo, l’objectif sera de boucler les différentes missions en un minimum de temps, chrono à l’appui, et ainsi prouver à la face du monde que l’on est le plus rapide à dézinguer du terroriste, certaines actions (comme enquiller les headshots par exemple) gelant pendant quelques secondes ledit chronomètre. En termes de replay value, on a déjà vu mieux.

Killing an ArabC’est là qu’intervient le mode multijoueur qui, comme il est de bon ton dans ce genre de titres, se paie la part du lion. Autre développeur, autre moteur graphique, c’est aux Suédois de DICE qu’Electronic Arts a confié la direction des empoignades en ligne, pour un résultat, là encore, à mi-chemin en Battlefield : Bad Company 2 et le blockbuster d’Infinity Ward. D’ailleurs, n’ayons pas peur des mots : Medal of Honor en est la symbiose parfaite, proposant un intéressant compromis entre la profondeur stratégique du premier et la frénésie de l’autre. Jouable à douze contre douze, on aura le choix entre quatre modes de jeu bien connus des habitués, portés par un browser de serveurs dédiés relativement complet, et jouables en mode hardcore. Le sempiternel deathmatch par équipes, un mode “Domination” rebaptisé “Contrôle du secteur”, “Objectif Raid” qui s’apparente notamment à un Counter-Strike avec des sites à défendre et des explosifs à poser ou désamorcer. Pour finir, le mode “Mission de combat” qui n’est ni plus ni moins que la copie conforme du mode “Rush” de Bad Company 2 et où il s’agira de prendre cinq points stratégiques les uns après les autres.

Pour ce faire, trois classes sont proposées. Le fusilier, muni d’un M16 avec lance-grenades et de fumigènes, fait un peu office de troufion de base, polyvalent et aussi à l’aise en attaque qu’en défense ; les forces spéciales, spécialistes du combat rapproché et des explosifs, manient aussi bien la M4 et le bazooka que le fusil à pompe ; le sniper, qui comme son nom le laisse présager, tient le rôle de l’immonde campouze alignant les têtes depuis le fin fond de la map, en plus de pouvoir poser des charges explosives particulièrement traîtresses. Au fur et à mesure de notre montée en grades (seulement quinze au total par classe), on pourra débloquer de nouvelles armes et capacités et, histoire de bien piocher dans les idées de ses petits camarades, on retrouvera également le système de chaînes de scores déjà vu dans Call of Duty 1 et 2, octroyant au joueur qui enchaîne les frags, diverses actions de soutien défensives et offensives qui s’apparenteront, la plupart du temps, à un gros missile sur la gueule de l’ennemi.

Pour séduire, Electronic Arts a donc misé sur des valeurs sûres, même si l’on constatera avec une pointe d’étonnement le passage à l’as de quelques bonnes idées de la campagne solo comme la possibilité de ramper, de glisser derrière un abri après un sprint ou encore l’absence aussi gênante qu’en solo, voire incompréhensible ici, de décors destructibles. Et si les casuals du headshot y trouveront à coup sûr leur compte, avec seulement huit cartes assez petites de surcroît, un seul véhicule à piloter (contre une tripotée d’engins de morts dans Battlefield : Bad Company 2) et, finalement, peu de contenu déblocable, il y a fort à parier que les plus endurcis en auront vite fait le tour. Là encore, un peu plus d’identité mais surtout de courage aurait pu faire la différence. Dommage.

Après tant d’années d’absence, on était en droit d’espérer un retour flamboyant pour une licence aussi mythique que Medal of Honor. Et avec une volonté affichée de proposer une alternative crédible aux délires scénaristiques et visuels d’un Call of Duty : Modern Warfare 2, on s’était même pris à rêver d’un adversaire capable de tenir la dragée haute au futur rouleau compresseur d’Activision. Mais au vu de ce nouvel opus, force est de constater que le miracle n’aura pas lieu. Trop soucieux de rester accessible au plus grand nombre, trop convenu pour verser dans le grandiose et porté par une réalisation loin d’être sans faille, le titre d’Electronic Arts, efficace au demeurant, se retrouve finalement victime d’une rupture des adducteurs à force de faire le grand écart entre les deux ténors actuels du genre, dont il s’inspire largement sans jamais les égaler. Reste un multi sympathique à défaut d’être véritablement ambitieux, une ambiance sonore de premier ordre et un cachet authentique des plus plaisants. Pas de quoi, malheureusement, marquer son territoire, alors qu’approche l’impressionnante machine de guerre Black Ops.articles connexes:

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