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Après Trêve de Noël, l’auteur explore un autre épisode méconnu de guerre, à savoir les exercices précédant le Débarquement de Normandie, en 1943. Il ne faut pas s’attendre à un roman purement « animalier » comme Michael Morpurgo sait si bien les réussir, car le lecteur ne suit Tips que de loin en loin, à travers la narratrice Lily. Les aventures du chat se mêlent à l’apprentissage du changement et du bouleversement des repères, la découverte de l’autre (et des Américains : Adolphus est le premier homme noir que Lily rencontre), l’adaptation à une vie où tout est rationné. La guerre n’apparaît qu’indirectement, comme une menace : enfants des villes envoyés à la campagne, absence des hommes au village, veuves de guerre se chargent de rappeler sa présence constante. La narratrice Lily navigue entre légèreté, voire inconscience, de l’enfance qui n’imagine pas la mort et gravité un peu coupable quant aux événements mondiaux (« En vérité, papa ne me manque pas autant qu’il le devrait, je le sais, pas autant qu’il manque à maman,mais c’est vachement contraignant. Si tu te sens le courage,http://www.lunettes. », p. 34). L’ensemble des histoires forme un tout complexe, nuancé entre joies et peines, et donc certainement très proche de la réalité de cette période. La construction en abyme est habile, en ce qu’elle introduit d’une part un suspense à rebondissements, et en ce qu’elle propose d’autre part une invitation au partage entre générations. Qualité du vocabulaire et de la syntaxe, sensibilité des sentiments, valeurs morales et éducatives finement distillées : Michael Morpurgo ne s’essouffle pas.

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